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L’imposition des voitures électriques en Suisse dès 2030 : une révolution à venir

L’imposition des voitures électriques en Suisse dès 2030 : une révolution à venir

C’est une annonce qui pourrait changer la donne du marché automobile suisse : selon le Conseil fédéral, les voitures électriques pourraient être taxées davantage dès 2030 pour compenser la baisse des recettes issues des carburants. SWI swissinfo.ch+1

Cette mesure, encore en consultation, suscite beaucoup de débats chez les propriétaires de VE, les concessionnaires et les acteurs de la mobilité. Voici ce qu’on sait déjà, ce qui est contesté, et comment cela pourrait influencer vos choix de voiture — et les calculs d’estimation ou de reprise chez DRIVE ON, Vallorbe.

1. Que prévoit exactement la nouvelle taxe sur les voitures électriques ?

Le Conseil fédéral propose deux variantes possibles pour appliquer cette taxe à partir de 2030 :

  • Une tarification selon le nombre de kilomètres parcourus par le véhicule électrique SWI swissinfo.ch
  • Ou une taxe basée sur la consommation d’électricité (ou sur l’énergie utilisée pour recharger) SWI swissinfo.ch

L’idée est simple : avec la disparition progressive des carburants, l’État devra compenser la perte des revenus liés aux taxes sur l’essence et le diesel.

2. Pourquoi cette mesure est-elle envisagée ?

  • Le carburant est aujourd’hui une source importante de revenus pour les infrastructures routières, les routes, l’entretien.
  • Avec l’essor des véhicules électriques, ces recettes baissent, ce qui crée un déficit à long terme pour financer les routes et l’entretien.
  • Cette taxe pourrait être vue comme une justice fiscale : même un VE doit contribuer au réseau routier qu’il utilise.
  • Enfin, cela pourrait freiner certaines acquisitions “électriques” dans les cas où la rentabilité s’effrite.

3. Les réactions attendues et les critiques

Arguments pour :

  • Assurer la viabilité financière des infrastructures
  • Éviter que seuls les propriétaires de véhicules thermiques paient pour les routes
  • Rendre le marché plus équitable

Arguments contre :

  • Cela pourrait pénaliser ceux qui ont investi tôt dans l’électrique
  • Décourager l’adoption des VE dans certaines zones rurales ou pour les petits budgets
  • Complexité de la mise en œuvre (mesure de la consommation, relevé des kilomètres, contrôle)
  • Certains considèrent que cela va à l’encontre des politiques climatiques incitatives

4. Quel impact pour les propriétaires de VE — et pour DRIVE ON ?

  • Lorsqu’on estime une voiture électrique en vue d’une reprise ou vente, il faudra intégrer cette taxe future dans le calcul du “coût d’usage”.
  • Les modèles avec meilleure efficacité énergétique, faible consommation ou longue autonomie pourraient mieux résister à cette taxe.
  • Les voitures moins performantes ou avec grande consommation d’électricité risquent de perdre en attractivité.
  • Pour DRIVE ON à Vallorbe, cela signifie devoir conseiller les clients en fonction de cette évolution, et ajuster la politique de reprise/estimation selon les scénarios possibles.

5. Comment anticiper ce changement dès maintenant ?

  • Lors de l’achat d’un VE, privilégier les modèles les plus efficaces (meilleur rendement, moins de pertes)
  • Conserver un historique de recharge clair
  • Surveiller les consultations gouvernementales et commenter si possible
  • Lors de l’estimation ou de la reprise, mentionner à l’acheteur potentiel l’impact possible de la future taxe, pour plus de transparence
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